Beelong Calculator

Energy intake

ECO-SCORE® by Beelong relates the environmental impact of food products to their energy (kcal) rather than their weight (kg). Indeed, the environmental impact of a food product, in particular its carbon footprint, is most often tied to its weight. However, this does not allow for a clear comparison of foods based on their primary function: feeding the population. relates the environmental impact of food products to their energy (kcal) rather than their weight (kg). Indeed, the environmental impact of a food product, in particular its carbon footprint, is most often tied to its weight. However, this does not allow for a clear comparison of foods based on their primary function: feeding the population.

Une approche par kilocalories permet de :

1. Make relevant comparisons between different product categories
2. Aligner les recommandations avec la définition de la sécurité alimentaire de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)

ECO-SCORE® by Beelong is intended to guide the consumption of food products, the recommendations should enable the consumer to eat in an eco-responsible way whilst still eating enough. However, not all foods have the same energy content. In the food industry, the energy intake and the energy needed by the body to maintain its functions is always expressed in “calories”, and measured in kilocalories (kcal).

An eco-friendly diet should go hand in hand with meeting one’s energy needs. Although energy needs do depend on age, gender, activity and physical condition, on average everyone needs approximately 2,000 kcal/day (OBSAN, 2020). Thus, for the world’s population to eat sustainably without going hungry, these 2,000 kcal/day should be as eco-friendly as possible. In other words, ECO-SCORE® by Beelong encourages the consumption of as many “eco-friendly calories” as possible.

Par exemple, si l’on remplace 100 g de poulet (163 kcal) par 100 g de tomates (21 kcal), il faudrait ingérer 8 fois plus de tomates soit 800 g pour obtenir le même apport énergétique. Ce qui multiplierait par 8 les impacts environnementaux de la tomate, par comparaison à son apport énergétique. 

Weighting the environmental impact of a product by its energy intake instead of its weight can thus reduce certain biases when comparing products from different categories. Therefore, ECO-SCORE® by Beelong makes it possible to tie environmental performance to food security and sufficiency. 

L’expression de l’impact environnemental de l’alimentation par unité de poids (kg) ou par unité d’apport énergétique (kcal) a une influence sur l’ordre de grandeur des diverses catégories de produits. Par exemple, l’impact environnemental de produits riches en calories (céréales, noix, huiles, beurre, etc.) est légèrement corrigé par rapport à l’impact environnemental de produits pauvres en calories (salade, tomates, concombre, etc.).

Product composition

The environmental impact of a food product is closely tied to its composition, i.e. the list of ingredients (declaration) and their quantity (%) contained in the finished product.

This is why each ingredient is first assessed based on a series of criteria relating to CO2 emissions, water and land use, biodiversity, endangered species, animal welfare, etc. Other criteria are then applied to assess the finished product itself, such as the impact of its packaging and the processing company’s sustainability policy. 

Two seemingly indistinguishable products can thus receive very different Scores, due to their different composition.

Distances travelled

Bien que la production agricole soit généralement responsable de la majorité de l’impact environnemental du cycle de vie d’un produit alimentaire, les distances parcourues par l’ensemble des ingrédients composant le produit puis par le produit fini joue aussi un rôle. L’impact lié aux distances parcourues est calculé via l’empreinte carbone, la consommation et la pollution de l’eau, et l’utilisation du sol.

ECO-SCORE® by Beelong takes into account:

• Pays d’origine de la matière première (lieu de production agricole), c’est-à-dire de chaque ingrédient composant le produit fini
• Pays d’élaboration du produit fini
• The country of consumption

For each product, the distance travelled is recorded via:

1. Le nombre de kilomètres parcourus par chaque ingrédient depuis son lieu d’origine jusqu’au lieu d’élaboration (ou de stockage)
2. Le nombre de kilomètres parcourus par le produit fini depuis son lieu d’élaboration au lieu de consommation

Water consumption and pollution

Water consumption

Les aliments à base de protéines animales en particulier (viande, poisson, produits laitiers, œufs) nécessitent souvent plus d’eau pour leur production. De plus, toutes les zones géographiques ne sont pas égales vis-à-vis de l’eau douce disponible. Certains pays ont moins d’eau à disposition et par conséquent un stress hydrique plus élevé. Les valeurs utilisées pour le stress hydrique sont basées sur la méthode AWARE (2018). La consommation en eau d’un produit alimentaire représente la multiplication entre la consommation d’eau de l’aliment et le stress hydrique du pays producteur. 

L’unité permettant d’exprimer l’empreinte hydrique est le mètre cube [m3]. Pour ECO-SCORE® by Beelong, l’empreinte hydrique s’exprime en m3/kcal.

Water pollution (fresh and marine)

La pollution de l’eau comprend deux composantes principales et pour lesquelles les données à disposition sont suffisamment solides : l’eutrophisation de l’eau douce et l’eutrophisation marine. 

Les unités permettant d’exprimer la pollution d’eau douce et la pollution de l’eau marine sont respectivement l’équivalent phosphore [P eq] et l’équivalent nitrate [N eq].  Pour ECO-SCORE® by Beelong, cela s’exprime en P eq/kcal et N eq/kcal.

The calculation of the water consumption and pollution takes into account the agricultural production of each ingredient, the seasonality (cultivation in heated greenhouses), the transport of the ingredients and of the finished product (distances travelled, modes of transport and refrigeration methods used), as well as the packaging of the finished product.

The values used are taken from the World Food LCA Database (Quantis) v 3.5, ecoinvent v 3.8, AGRIBALYSE v 3.0.

Animal welfare

La manière dont sont élevés les animaux de rente dépend du mode de production agricole. Pour deux aliments similaires, les conditions d’élevage peuvent varier considérablement et avoir des conséquences différentes sur le bien-être animal et le respect environnemental de manière générale. Par exemple, des volailles élevées en plein air ou en batterie ne subissent pas le même stress, les mêmes interventions chirurgicales, le même taux de maladies et de mortalité, la même espérance de vie, la même souffrance physique et émotionnelle. De plus, le type d’alimentation des animaux joue un rôle déterminant dans l’impact environnemental global du produit (par exemple alimentation à base de soja versus pâturage).

Comme pour l’évaluation de la biodiversité, le principal défi pour évaluer l’impact sur le bien-être animal est la difficulté d’accès aux informations concernant les conditions d’élevage. Les principales sources d’informations disponibles sont donc aussi les labels agricoles et les législations agricoles des pays producteurs, ainsi que certaines informations concernant des types d’élevage spécifiques (par ex. plein air, au sol) ou des programmes spécifiques de détention des animaux (par ex. SRPA, SST).

Agricultural labels: the number of environmental measures, in particular those aimed at promoting animal welfare, is evaluated. The maximum number of possible measures for Switzerland, for example, corresponds to the Bio Bourgeon (Switzerland), Demeter (Switzerland), or equivalent labels.

Agricultural legislation: the number of environmental measures in the agricultural policies of different producing countries (or geographical areas), in particular those aimed at promoting biodiversity, are identified.

Animal husbandry programmes: the number of environmental measures, in particular those aimed at promoting animal welfare, is evaluated.

Labels

Pour les produits alimentaires, la perte de biodiversité est un enjeu au moins aussi important que le changement climatique. Certains modes de production agricole sont plus éco-responsables que d’autres, et favorisent plus ou moins la biodiversité et ses services écosystémiques essentiels.

Pour évaluer l’impact sur la biodiversité d’un produit alimentaire, le principal défi est la difficulté d’accès aux informations concernant son mode de production. Les principales sources d’informations disponibles sont aujourd’hui les labels agricoles et les législations agricoles des pays producteurs.

Agricultural labels: the number of environmental measures, particularly those aimed at promoting biodiversity, is evaluated. More than 100 criteria are currently listed. The labels that include the most environmental measures in their specifications are ranked highest. The ranking of each label may vary according to the product category (plant production, animal production, fisheries, etc.). The maximum possible measures for Switzerland, for example, correspond to the labels Bio Bourgeon (Switzerland), Demeter (Switzerland), or equivalent.

Agricultural legislation

Pour les produits alimentaires, la perte de biodiversité est un enjeu au moins aussi important que le changement climatique. Certains modes de production agricole sont plus éco-responsables que d’autres, et favorisent plus ou moins la biodiversité et ses services écosystémiques essentiels.

Pour évaluer l’impact sur la biodiversité d’un produit alimentaire, le principal défi est la difficulté d’accès aux informations concernant son mode de production. Les principales sources d’informations disponibles sont aujourd’hui les labels agricoles et les législations agricoles des pays producteurs.

Agricultural legislations : the number of environmental measures in the agricultural policies of different producing countries (or geographical areas), in particular those aimed at promoting biodiversity, are identified. 

La majorité des pays ont une politique agricole qui pose un certain cadre dans lequel la production agricole doit se dérouler, en y incluant par exemple des mesures environnementales contraignantes ou volontaires, généralement encouragées par des contributions financières. Par exemple, la Suisse a élaboré de nombreuses mesures environnementales au sein de sa politique agricole, notamment grâce aux prestations écologiques requises (PER) que doivent respecter les agriculteurs suisses afin de recevoir des paiements directs de la Confédération. Autre exemple, l’Union Européenne a élaboré une Politique Agricole Commune (PAC) qui comprend des mesures à respecter pour tous les pays membres de l’UE.

Espèces en danger

Au cours des 60 dernières années, la pêche s’est tellement intensifiée qu’aujourd’hui environ un tiers des effectifs de poissons est en situation de surpêche (en mer Méditerranée, ce chiffre grimpe même jusqu’à 93%). Ceci signifie que le taux de capture de ces poissons est plus élevé que leur capacité de reproduction. De plus, la pêche étant très industrialisée, certaines techniques de pêche (par ex. chaluts) détruisent les écosystèmes marins et capturent de nombreuses autres espèces non consommées. Notre consommation de poissons, mollusques et crustacés a donc un impact considérable sur l’état des stocks et sur les écosystèmes.

Un « stock » de poissons (inclus mollusques et crustacés) fait référence à la population d’une certaine espèce de poissons évoluant dans une certaine zone géographique. « L’état des stocks » représente donc l’état de la population d’une espèce dans un lieu géographique défini.

Les informations utilisées concernant l’état des stocks sont les appréciations proposées par le guide du World Wide Fund (WWF), Ethic Ocean et de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). En fonction de l’espèce, de sa zone de provenance et de sa technique de pêche, le stock est évalué « recommandable », « acceptable », ou « à éviter à tout prix ».

La traçabilité représente toutefois un enjeu majeur pour les produits de la mer. Les informations sur l’espèce exacte (nom scientifique), sur la provenance exacte (zone FAO) et sur la technique de pêche sont souvent difficiles d’accès. C’est pourquoi en cas d’information inconnue, le pire scénario est toujours considéré.

De la même manière, la taille de maturité devrait être considérée, mais l’absence d’information sur les poissons souvent achetés déjà découpés ne permet pas encore la prise en compte de ce critère.

Fishing methods

Au cours des 60 dernières années, la pêche s’est tellement intensifiée qu’aujourd’hui environ un tiers des effectifs de poissons est en situation de surpêche (en mer Méditerranée, ce chiffre grimpe même jusqu’à 93%). Ceci signifie que le taux de capture de ces poissons est plus élevé que leur capacité de reproduction. De plus, la pêche étant très industrialisée, certaines techniques de pêche (par ex. chaluts) détruisent les écosystèmes marins et capturent de nombreuses autres espèces non consommées. Notre consommation de poissons, mollusques et crustacés a donc un impact considérable sur l’état des stocks et sur les écosystèmes.

Un « stock » de poissons (inclus mollusques et crustacés) fait référence à la population d’une certaine espèce de poissons évoluant dans une certaine zone géographique. « L’état des stocks » représente donc l’état de la population d’une espèce dans un lieu géographique défini.

Les informations utilisées concernant l’état des stocks sont les appréciations proposées par le guide du World Wide Fund (WWF), Ethic Ocean et de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). En fonction de l’espèce, de sa zone de provenance et de sa technique de pêche, le stock est évalué « recommandable », « acceptable », ou « à éviter à tout prix ».

La traçabilité représente toutefois un enjeu majeur pour les produits de la mer. Les informations sur l’espèce exacte (nom scientifique), sur la provenance exacte (zone FAO) et sur la technique de pêche sont souvent difficiles d’accès. C’est pourquoi en cas d’information inconnue, le pire scénario est toujours considéré.

De la même manière, la taille de maturité devrait être considérée, mais l’absence d’information sur les poissons souvent achetés déjà découpés ne permet pas encore la prise en compte de ce critère.

Sustainability policy of producing countries

Food production is closely regulated by the agricultural legislation of the producing countries. The strength of each country’s environmental policies and their impact on the environment is taken into account via the Environmental Performance Index (EPI) created by Yale and Columbia researchers.

It covers 180 countries and aggregates 32 performance indicators into 11 categories: air quality, water quality, heavy metals, waste management, biodiversity and habitat, ecosystem management, fisheries, climate change, pollutant emissions, agriculture, and water resources.

This index is used to evaluate each of the ingredients in the finished product and their origins.

Seasonality of fruit and vegetables

La saisonnalité des fruits et légumes indique notamment si les cycles naturels de production des aliments sont respectés, ou si un chauffage artificiel sous serre est utilisé. Il s’agit principalement d’éviter de gaspiller de l’énergie qui pourrait être utilisée pour des usages plus indispensables, et d’éviter les pollutions générées par l’utilisation d’énergie fossile.

Therefore, consuming locally does not always mean consuming seasonal products (e.g. eating Swiss tomatoes in February is local but out of season).

The calculation therefore depends on whether the fruit or vegetable is grown in a greenhouse heated with fossil/renewable energy or in an unheated greenhouse. Foods frequently grown in heated greenhouses include: tomatoes, lettuce, peppers, cucumbers, courgettes, aubergines, peppers, strawberries, raspberries, blueberries, etc.

The impact of growing in a heated greenhouse is taken into account in the carbon footprint, water consumption and pollution, and land use calculations.

Les fruits et légumes surgelés ou très transformés ne sont jamais considérés sous serre chauffée (sauf si information contraire) car considérés comme récoltés pendant la haute saison avant d’être transformés.

Corporate sustainability policy

La politique de développement durable d’une entreprise comprend les mesures qui ne sont pas directement en lien avec la production agricole, mais qui contribuent à diminuer l’impact environnemental au niveau de l’entreprise. Ce critère concerne généralement l’acteur qui élabore le produit fini.

Ces mesures comprennent la gestion du changement climatique et des émissions de gaz à effet de serre, l’utilisation et la qualité de l’eau, l’utilisation des matériaux et de l’énergie, la gestion/réduction des déchets et des emballages, les éventuels labels et certifications, le suivi et l’évaluation d’objectifs de développement durable, les éventuelles collaborations avec des organismes tiers spécialisés dans le développement durable, la traçabilité des matières premières, etc.

Les informations utilisées sont celles obtenues à l’aide d’un questionnaire de 25 questions, directement renseigné par les marques ou producteurs. En cas d’information non disponible, les éventuelles mesures environnementales de l’entreprise ne sont pas valorisées.

Land use

Le sol et son écosystème sont des ressources naturelles essentielles pour l’agriculture. Malheureusement à l’heure actuelle, cette ressource précieuse est dégradée à grande échelle par des pratiques agricoles souvent peu respectueuses.

L’utilisation du sol d’un produit alimentaire représente son impact sur le sol, c’est-à-dire : plus un produit suscite une pression forte sur le sol et son écosystème (par exemple déforestation, monoculture ou culture intensive) plus l’impact est élevé, moins il en suscite (par exemple pâture sur prairie permanente) plus l’impact est faible.

The calculation for land use takes into account the agricultural production of each ingredient, the seasonality (cultivation in heated greenhouses), the transport (distances travelled, modes of transport and refrigeration methods used), as well as the packaging of the finished product

The values used are taken from the World Food LCA Database (Quantis) v 3.5, ecoinvent v 3.8, AGRIBALYSE v 3.0.

Carbon footprint

Les aliments que nous consommons n’ont pas tous le même impact sur le climat. Les aliments à base de protéines animales en particulier (viande, poisson, produits laitiers, œufs) nécessitent davantage de ressources à leur production et ont un impact beaucoup plus important sur l’environnement.

L’empreinte carbone d’un produit alimentaire représente la somme des gaz à effet de serre émis pour sa production, de la ferme à l’étape finale étudiée. L’unité permettant d’exprimer l’émission des principaux gaz à effet de serre est la masse d’équivalent CO2. 

The calculation of the carbon footprint takes into account the agricultural production of each ingredient, the seasonality (cultivation in heated greenhouses), the transport of the ingredients and of the finished product (distances travelled, modes of transport and refrigeration methods used), as well as the packaging of the finished product.

The values used are taken from the World Food LCA Database (Quantis) v 3.5, ecoinvent v 3.8, AGRIBALYSE v 3.0.

For some ingredients (such as soy, beef and veal), specific values for Swiss production are used.

Finally, the carbon footprint of the various meat products is calculated according to their edible mass and economic value. Based on the principle that meat production is driven by market demand, price is a relevant indicator of the added value of certain meat cuts compared to others. The underlying idea is that if low cuts were more popular, fewer animals could be reared to satisfy the demand for meat. This allocation approach in the life cycle analysis of meat cuts provides additional leverage for consumers in their diet choices and enhances the value of low cuts. For instance, the carbon footprint of a beef fillet can be up to 5x higher than that of an “average” cut (minced, stewed, boiled, neck, etc.) and up to 20x higher than that of a low cut (liver, tongue, tripe, etc.).

Modes of transport

Bien que la production agricole soit généralement responsable de la majorité de l’impact environnemental du cycle de vie d’un produit alimentaire, le transport peut lui aussi peser lourd s’il est effectué par avion. On estime que la consommation énergétique est trente fois supérieure pour le transport de denrées alimentaires par avion que par camion (CCE, 2017).

For each of the distances travelled by the ingredients and the finished product, the impact of the modes of transport is calculated via the carbon footprint, water consumption and pollution, and land use.

Several modes of transport (truck, train, boat, plane, car, electric car, bicycle, etc.) can be used for the same journey. For instance: truck and boat for bananas from South America.

Les informations utilisées sont celles communiquées par les marques, distributeurs ou producteurs. En cas d’information non disponible, des hypothèses sont établies en fonction du type de produit, de sa provenance et de son conditionnement

Methods of preservation

Le mode de conservation comprend l’utilisation du froid, notamment pour la réfrigération et la surgélation. Ces modes de conservation ont un impact sur la consommation énergétique du produit.

The impact of the methods of preservation (non-refrigerated, refrigerated, frozen) is calculated via the carbon footprint, water consumption and pollution, and land use.

Les informations utilisées sont celles communiquées par les marques, distributeurs ou producteurs. En cas d’information non disponible, des hypothèses sont établies en fonction du type de produit, de sa provenance et de son conditionnement.

Packaging

L’impact environnemental de chaque emballage dépend de la quantité de matière nécessaire pour conditionner le produit, des impacts environnementaux générés par la production des matières premières, et de leur capacité à être recyclés.

For the same food product, different pieces of packaging can be considered, e.g. for a yoghurt: the plastic pot, the aluminium lid and the paper label surrounding the pot.

The durability of the packaging depends on the material used and the overall weight (size):

Material: the impact per kg of packaging varies depending on whether it is made of paper, glass, aluminium, PET, plastics, cloth, etc.

Size: the impact per kg of packaging also varies depending on the quantity of packaging, e.g. for a punnet, a small or large bag, a small or large bottle, a wrapping film, a brick, etc.

The environmental impact of packaging is calculated: 

1. via the carbon footprint, water consumption and pollution, and land use
2. based on the nature of the upstream material: incorporation rate of recycled material, share of renewable and sustainable / renewable and non-sustainable / non-renewable raw material
3. based on the nature of the downstream material: the share of recyclable, biodegradable, landfillable/incinerable material